Bio
BRUCE MERITTE est avant tout le directeur artistique de sa vie.
Né à Paris, le Dimanche 7 avril 1968 à 22h55, Bruce démarre sa vie par un cri qui déjà veut dire « enjoyyourfuckin’ life » une devise qui régira plus tard chacun de ses faits et gestes jusqu’à le faire tatouer sur son bras pour ne pas l’oublier.
Le Bac en poche, il s’inscrit à ASSAS et en parallèle dans une école de commerce, mais ce qui le fait vraiment vibrer c’est l’univers de la « Nuit ». Très vite il devient une figure incontournable des plus belles nuits parisiennes en organisant des soirées dans les clubs les plus emblématiques et les plus courus de la Capitale. Du « Bus Palladium », aux « Bains », en passant par « le Palace », « Chez Régine » ou encore au « Duplex » aucun lieu ne résiste à ses idées novatrices avant de devenir propriétaire de la « Villa Barclay », club mythique des années 90.
Curieux, touche-à-tout et avide de nouvelles expériences, il travaillera ensuite avec Fabien Ontoniente sur la musique du film « Camping », puis avec Sébastien Chabal pendant la coupe du monde de Rugby de 2007 ou encore pour la marque Dupont pour qui il crée la DJ Case.
En 2009, à la mort de Michael Jackson lui vient l’idée de faire des photos de ces figurines qu’il collectionne depuis son plus jeune âge. Il en possède plus de 500. De Casimir à Maryline Monroe en passant par Steeve Mc Queen ou encore Franck Sinatra, Barrack Obama ou les Daft Punk, pas un personnage ne lui échappe. Une collection acquise au fil des années à chiner dans les brocantes, les vides greniers, ou encore en effectuant des heures de recherche sur internet.
Derrière cette collection se cache un grand enfant qui n’a pas envie de grandir. Il les met en scène, les photographies et très vite expose ses créations d’abord à la Galerie Think & More, puis au Black Block au Palais de Tokyo, mais aussi au Fouquet’s, et à la Galerie Pierre Cardin. Le succès qu’il rencontre lui vaut le privilège d’être intégré à de prestigieuses ventes chez Artcurial et à Drouot.
Ses influences se situent à la frontière du pop-art et de la publicité… ce qui n’est pas vraiment un hasard, son papa ayant été patron d’une agence de pub dans les années 80 où il passait beaucoup de temps.
Ses œuvres proposent souvent une double lecture derrière un message positif. Son inspiration il la puise dans la vie, au coin d’une rue, dans un livre, en écoutant de la musique ou encore au cours de ses nombreux voyages. Autre violon d’Ingres : la musique qui fait partie de son ADN et qui aura toujours une grande place dans sa vie.
Eternel optimiste, Bruce a choisi malgré les aléas de la vie de toujours voir le coté positif des choses. D’ailleurs chaque matin face au miroir il se répète : « LE BONHEUR C’EST UNE HABITUDE », une de ses phrases préférées que lui a appris il a à bien longtemps son ami Jean François Magne. Sa vie est une succession de rencontres improbables qui lui ont permis de vivre des instants magnifiques. Parfois provocateur, il aime déranger, bousculer les gens pour les amener à réfléchir. Un conseil : pour espérer le croiser, vaut mieux être couche-tard !
Atypical character of the Parisian night, Bruce Meritte has always been, as far as he remembers, passionate about images.
Born in Paris, in April 1968, he started his life with a shout that already meant “enjoy your fuckin’ life”, a motto that will later govern his every move and had a tattoo made on his arm to remember, “You never know!
With his baccalaureate in hand, he enrolled at ASSAS university and at the same time, in a business school. But what really thrilled him was the “Night world”.
He quickly became a key figure of the Parisian nightlife organizing parties in the most emblematic and popular clubs of the capital. From the “Bus Palladium”, to the “Bains”, through the “Palace”, “Chez Régine” or the “Duplex”, no place resisted his innovative ideas before he became the owner of the “Villa Barclay”, a mythical club of the 90s. Curious, jack-of-all-trades and eager for new experiences, he then worked with Fabien Ontoniente on the music for the film “Camping”, then with Sébastien Chabal during the 2007 Rugby World Cup or for the Dupont brand for whom he created the DJ Case.
In 2009, when Michael Jackson died, he had the idea to take pictures of these figurines that he had been collecting since he was young. He has more than 500 of them. From Casimir to Maryline Monroe through Steve McQueen or Frank Sinatra, Barrack Obama or Daft Punk, not a character escaped him. A collection acquired over the years hunting in flea markets, attics, or by conducting hours of research on the Internet.
Thus, he stages them with always a touch of humor and provocation, then photographs them. Very quickly he exhibited his creations, first at the Think & More Gallery, then at the Black Block at the Palais de Tokyo, but also at Fouquet’s, and at the Pierre Cardin Gallery.
His success earned him the privilege of being included in prestigious sales at Artcurial and Drouot.
His influences are at the border of pop-art and advertising… which is not really a coincidence, as his father was the head of an advertising agency in the 80s and he spent a lot of time there.
His works often offer a double reading behind a positive message. His inspiration comes
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from life, from the corner of a street, from a book, from listening to music or even from his numerous trips.
Another of his passions is music, which is part of his DNA and will always have a big place in his life.
An eternal optimist, Bruce has chosen, despite the ups and downs of life, to always see the positive side of things. In fact, every morning, in front of the mirror, he repeats to himself: “happiness is an habitude”, one of his favorite sentences that his friend Jean- François Magne taught him a long time ago.
His life is a succession of unlikely encounters that have allowed him to live magnificent moments. Sometimes provocative, he likes to disturb, to jostle people to make them think. But is this not the role of art?
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